J’ai du mal avec la notion de conseil par l’état français. Ils conseillent gimp, bon ben ça fait une belle jambe. Ils ne font rien pour qu’on soit autonomes sur le plan logiciel.
En attendant, je bosse dans une collectivité territoriale. Ça fait un an que j’ai fait une demande pour un logiciel (américain) et comme on ne l’a toujours pas on va externaliser la tâche par une boîte externe privée (équipée de ce logiciel)…
L’état devrait tenir une position plus ferme sur la question, en faveur des solutions open source. La situation actuelle avec les US devrait nous insister à nous débarrasser des solutions Microsoft par exemple: dans la fonction publique, on peut déplorer une trop grande majorité d’utilisateurs de windows et de sa suite office (alors que dans la plupart des cas cela pourrait être remplacé par du FOSS). Je salue les universités qui mettent les étudiants sur linux/libroffice, il y en a quand même pas mal. Mais récemment en France nous avons eu des exemples affligeants comme à polytechnique ou à l’INRA où ils ont migré de solutions open source pour les mails/la bureautique, opérées par le public, vers une solution microsoft.
Merci Ô grand état ! J’attendais tes mots justes pour me guider dans mes périples informatiques !
Dommage qu’ils conseillent debian, thunderbird ou moodle quand les administrations utilisent windows, outlook/gmail et pronote. Après tout c’est pas comme si c’était l’etat qui avait fais cette liste.
Tellement…
Quel type d’institutions ? Parce qu’en université on utilise les logiciels cités dans l’article
Écoles, santé, social et ferroviaire en tout cas.
Vous etes sur du linux dans ton université ?
Framasoft, anyone ?