Le socle interministériel de logiciels libres a encore grossi. Désormais, il y a plus de 500 références dans le catalogue des programmes informatiques que l'État conseille à ses administrations. Un travail de longue haleine, commencé au début de la décennie passée. 473 logiciels libres référencés en mai 2024, 529 en
J’ai du mal avec la notion de conseil par l’état français. Ils conseillent gimp, bon ben ça fait une belle jambe. Ils ne font rien pour qu’on soit autonomes sur le plan logiciel.
En attendant, je bosse dans une collectivité territoriale. Ça fait un an que j’ai fait une demande pour un logiciel (américain) et comme on ne l’a toujours pas on va externaliser la tâche par une boîte externe privée (équipée de ce logiciel)…
Le problème c’est gimp ? Parce qu’il y a krita et photopea qui font un super travail. Photoshop c’est overkill pour 99.9% des besoins, même pros.
Je vais essayer.
Oui c’est gimp, mais aussi la plupart des logiciels proposés qui certes sont ‘’ libres’’ mais pas au niveau.
J’étais au collège quand j’ai commencé à apprendre gimp. C’était sympa pour jouer un peu, mais c’est loin d’avoir le nouveau de photoshop. Si c’est pour jouer avec teinte /saturation, recadrer etc (ce que font toutes les app mobiles aujourd’hui) gimp est suffisant. Dès qu’il faut aller plus loin,comme détourer des zones précises, faire des masques vectoriels,franchement c’est antiergonomique.
On ne peux pas demander à tous les logiciels libres d’être “au niveau” quand :
Perso, je trouve gimp horrible. Mais je n’ai plus utilisé Photoshop depuis un.bail. photopea est largement suffisant pour la plupart des travaux photo, et krita est très bien pour l’illustration. (Et on peut utiliser les raccourcis Adobe).
Paradoxalement, ça fait longtemps qu’Adobe ne progresse plus. C’est une vache à lait, comme windows avec office . Comme c’est utilisé partout , il y a une pression pour conserver ces suites logiciel. Mais ça devrait être bani pour faire progresser ce qui est libre . Cela demande “juste” une période de transition, et elle n’est pas si longue