Le socle interministériel de logiciels libres a encore grossi. Désormais, il y a plus de 500 références dans le catalogue des programmes informatiques que l'État conseille à ses administrations. Un travail de longue haleine, commencé au début de la décennie passée. 473 logiciels libres référencés en mai 2024, 529 en
L’état devrait tenir une position plus ferme sur la question, en faveur des solutions open source. La situation actuelle avec les US devrait nous insister à nous débarrasser des solutions Microsoft par exemple: dans la fonction publique, on peut déplorer une trop grande majorité d’utilisateurs de windows et de sa suite office (alors que dans la plupart des cas cela pourrait être remplacé par du FOSS). Je salue les universités qui mettent les étudiants sur linux/libroffice, il y en a quand même pas mal. Mais récemment en France nous avons eu des exemples affligeants comme à polytechnique ou à l’INRA où ils ont migré de solutions open source pour les mails/la bureautique, opérées par le public, vers une solution microsoft.